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Ce que la loi sur les hautes écoles va changer

Les établissements qui portent le nom d’«université» ou «haute école» doivent être accrédités avant le 1er janvier par le Conseil suisse. Au-delà de l’appellation, ce label n’a pas le même poids pour toutes les institutions, ni pour tous les programmes

Les universités publiques romandes sont toutes passées par cette démarche et ont obtenu le précieux sésame, valable pour sept ans. — © Cristophe Chammartin pour Le Temps
Les universités publiques romandes sont toutes passées par cette démarche et ont obtenu le précieux sésame, valable pour sept ans. — © Cristophe Chammartin pour Le Temps

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La loi sur l’encouragement et la coordination des hautes écoles, ou la LEHE, en vigueur en Suisse depuis 2015: son nom ne dit peut-être pas grand-chose au grand public, mais ses applications sont très concrètes. Dont celle de protéger notamment les appellations «université, haute école spécialisée, haute école pédagogique, institut universitaire et institut de niveau haute école spécialisée», qui ne l’étaient pas jusque-là. Une réalité surprenante.

Désormais, pour pouvoir utiliser ces noms, il faut obtenir une décision positive du Conseil suisse d’accréditation. Les universités publiques romandes sont toutes passées par cette démarche et ont obtenu le précieux sésame, valable pour sept ans. Ce qui n’est pas le cas de toutes les écoles privées qui portent le nom «université» ou «university». Un délai est accordé aux institutions désignées ainsi sans accréditation… jusqu’au 31 décembre 2022.

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